qUOI – wAS

Qu’est-ce que c’est la danse contemporaine?
ICI ET MAINENANT

Was ist Gegenwartskunst?
HIER UND JETZT

intervention tauschEt comment ça continue maintenant? Voilà un lien comme réponse. Pour voir des petites videos sur le travail en France. Par exemple: ni tout à fait le même, ni tout à fait un autre
Et pour le travail allemand: c’est maintenant voyagé à Vienne en Autriche avec bitterernst.at
Au revoir en réalité.
Und wie geht das jetzt weiter? Hier ein Link als Antwort. Um kurze Videos die Arbeit in Frankreich zu sehen. Zum Beispiel: nicht ganz das gleiche, nicht ganz etwas anderes
Und die Arbeit im deutschen Sprachraum: sie ist inszwischen in Wien / Österreich mit bitterernst.at
Auf Wiedersehn in der Realität.

Ce clip ci est le commentaire de Zéline Zonzon sur les espaces qu’elle a vus a Nürnberg,  que l’ont touchée. Le clip est aussi le commentaire de Klaus Kirchner sur le résultat actuel du projet ‘arts et mouvements’ avec DUO, la coopération Vie d’Artiste et arthefact – art & theatre factory plus bitterernst.at: il y a des espaces á explorer et on a déjà commencé.

Dieser Videoclip ist der Kommentar von Zeline Zonzon zu ihren beiden Austauschbesuchen in der mittelfränkischen Metropole Nürnberg. Er zeigt die Räume, die sie nachhaltig berührt haben. Gleichzeitig ist dieses Produkt das Statement von Klaus Kirchner zu den aktuellen Ergebnisse des über DUO geförderten Projektes ‘arts et mouvements’ von Vie d’Artiste und arthefact – art & theatre factory plus bitterernst.at: es gibt viele Räume um sie mit Bewegung zu füllen – und einige engagierte Menschen – wir haben schon begonnen.

La Vie d’Artiste de Zéline Zonzon

La danseuse, chorégraphe, professeur de danse Zéline Zonzon est une femme bien occupée : entre répétitions, représentations, ateliers et travaux administratifs, elle se couche tard et se lève tôt ! Son bel appartement dans la rue Flamande donne sur une cour arborée dont elle peut profiter, rare en ville ! Pour sa cuisine mixte antillaise-provençale-viêtnamienne avec beaucoup de poisson, elle fait les courses chez les commerçants des Halles et du quartier. Elle aime y vivre ‘’ car c’est populaire, vivant, les contacts sont chaleureux ‘’, p. ex. avec Maggie, ’’ la mémoire du quartier ‘’ qui l’avait un peu prise sous ses ailes lorsqu’elle y est arrivée, il y a 10 ans. ‘’ Vivre ici me rappelle les films des années 50, 60. ’’ Seul bémol : ‘’ Parfois c’est trop bruyant et les rues sont très sales. Mais le soir, je m’y sens plus en sécurité qu’au centre ville ! ’’
Le coup de cœur pour la danse lui tomba dessus en plein milieu de ses études de sciences économiques. Puis, elle a choisi d’en faire son métier. Des séjours à Aix, à Paris ont suivi et, en 1993 Zéline crée sa compagnie La Vie d’Artiste avec laquelle elle monte des spectacles poétiques un peu partout et intervient dans les écoles. En plus, elle participe (en collaboration avec l’Arthefact factory Nuremberg – échange rendu possible grâce à la fondation Robert Bosch) à un projet européen inter-générationnel où travaille un public des danseurs et non danseurs de tout âge des villes d’Izmir/Turquie, de Milan/Italie, de Schwalbach/Allemagne ainsi qu’une fanfare !

Jutta Jahn

Das Künstlerleben von Zéline Zonzon

Die Tänzerin, Choreografin, Tanzpädagogin Zéline Zonzon ist eine viel beschäftigte Frau: zwischen Proben, Aufführungen, Workshops und Verwaltungsarbeit geht sie spät zu Bett und steht früh auf! Ihre schöne Wohnung in der Rue Flamande führt auf einen Innenhof mit Bäumen, den sie sehr genießt, selten in der Stadt! Für ihre gemischte westindisch-provencalisch-vietnamesische Küche mit viel Fisch, kauft sie bei den Händlern in den Hallen oder im Stadtviertel ein. Sie lebt gerne hier  ‘es ist beliebt, lebendig, zwischenmenschlich warm’, z.B. mit Maggie ‘dem Gedächtnis des Viertels’ die sie ein wenig unter ihre Fittiche genommen hat, als sie ankam, vor 10 Jahren. ‘Hier zu leben erinnert mich an die Filme der 50er und 60er Jahre.’ Einziger Kritikpunkt ‘Manchmal ist es zu laut und die Straßen sind schmutzig, aber Abends fühle ich mich hier sicherer als in der Innenstadt.’ Die Herzensentscheidung für den Tanz fiel mitten in ihr Studium der Wirtschaftswissenschaften. Dann hat sie ihren Beruf daraus gemacht. Dem folgten Zeiten in Aix, in Paris, 1993 gründete sie ihre eigene Kompanie La Vie d’Artiste mit der sie ihre poetischen Stücke überall aufführt und ein wenig in Schulen interveniert. Und außerdem nimmt sie (in Zusammenarbeit mit Arthefact – art & theatre factory Nürnberg – ein Kontakt der durch Unterstützungder Robert Bosch Stiftung möglich wurde) an einem europäischen Projekt teil, generationenübergreifend, mit dabei sind Tänzer und Nicht-Tänzer aller Altersgruppen aus Izmir/Türkei, Mailand/Italien, Schwabach/Deutschland und eine Blaskapelle!
Text Jutta Jahn, Übersetzung Klaus Kirchner

Me voici avec l’équipe sur les espaces choisis pour tourner le clip.
Hier bin ich mit meinem Team in den Räumen, die ich für den Videoclip ausgewählt habe.

4 hommes, Philippe Dhaussy, mime Français installé à Nuremberg, Klaus Kirchner, Johann Maier un paisible et curieux vieux Monsieur et le videaste Gordon Treichel.
4 Männer, Philippe Dhaussy, ein in Nürnberg wohnhafter französischer Pantomime, Klaus Kirchner, Johann Maier ein friedlicher und neurgieriger älterer Herr und der Filmemacher Gordon Treichel.

Le premier espace : le Musée d’Art contemporain, « Neues Museum Nürnberg » architecte: Volker Staab, l’espace est  élégant, le bois caresse le béton et le verre donne une légèreté à l’ensemble, le vaste escalier en colimaçon s’impose dans le musée et ses courbes parallèles donne du mouvement à l’ensemble.
Erster Ort: das Museum für Gegenwarts-Kunst ‘Neues Museum Nürnberg’, Architekt: Volker Staab, der Raum ist elegant, Holz streichelt den Beton und Glas verleiht allem eine Leichtigkeit, die große Wendeltreppe setzt sich durch und ihre parallelen Windungen das Ganze in Bewegung.

Je pensais filmer les lignes et les courbes, la matière des matériaux et parler de mes impressions face à ces lieux, mais très vite je place les hommes dans l’espace, puis viennent des regards sur des points précis, des gestes quotidiens et un jeu de rythmique ! N’était-ce pas déjà de la chorégraphie ?  Monsieur Johann a suivi, amusé, curieux, une grâce dans le geste , qu’a-t-il pensé de ce moment ? Il m’a souri et est parti à son rendez-vous, merci à vous Monsieur.
Ich gedachte die Linien und Kurven zu filmen, die Stofflichkeit der Materialien und über meine Eindrücke von diesem Ort zu sprechen, aber sehr schnell stelle ich die Männer in den Raum, dann folgen Blicke auf genaue Punkte, Alltagsgesten und ein rhythmisches Spiel! War das nicht schon Choreografie? Herr Johann folgte, amüsiert, neugierig, Anmut in den Gesten, was hat er sich in diesem Moment gedacht? Er hat mich angelächelt und ist dann zu seiner Verabredung gegangen, Danke mein Herr.

Merci à vous Messieurs !
Danke meine Herren!

2ème espace : le quartier des usines désaffectées. Vertige ! le regard à 360°, nous étions vraiment tout petits devant ces barres de fenêtres en verre reflétant l’image d’autres barres de bâtiments, des entrées pour camions, des hangars frigorifiques, des vitrines, des rails qui serpentent entre les bâtiments.
Zweiter Raum: der Stadtteil der stillgelegten Fabriken. Schwindel! im 360° Blick, wir waren wirklich ganz klein vor diesen Fronten von Fenstern, die das Bild anderer Gebäudefronten spiegelten, Einfahrten für Lastwägen, Kühlhallen, Schaufenster, Schienen die sich zwischen den Gebäuden schlängeln.
J’ai choisi un parking avec une structure très particulière et des numéros de places attribuées, je pense, en fonction grade dans l’usine.
Ich habe einen Parkplatz gewählt mit einer besonderen Struktur und nummerierten Stellplätzen, ich denke nach den Rangstufen in der Fabrik.
Je voyais mes compagnons très loin mais la musique de la flûte Japonaise de Klaus était très présente et m’a accompagnée tout au long de mes déplacements.
Ich sah meine Begleiter von ganz Weitem aber die Musik von Klaus auf der japanischen Flöte war sehr präsent und begleitete mich während meiner Ortwechsel.

Autre espace : des fleurs et des odeurs, des compositions de branches, fleurs et fruits, des tiges et une dominante de la couleur orange, nous sommes chez Hannelore Bauer, fleuriste, artiste fleuriste. Qui a déjà fait une conférence de presse chez un fleuriste ?
Anderer Raum: Blumen und Düfte, Kompositionen von Ästen, Blüten und Früchten, Stängel und eine Dominanz von Orange, wir sind bei Hannelore Bauer, Floristin, Blumen-Künstlerin. Wer hat schon eine Pressekonferenz bei einer Floristin abgehalten?
Nous avons encore parlé de cette notion d’espace avec Klaus, mes réactions et réflexions fortes ont mis l’accent sur ces choses si évidentes en Bavière, petite précision, Nuremberg est en Franconie, si, si, il y a un rapport historique avec la France !
Noch ein Gespräch mit Klaus über die Wahrnehmung von Raum, meine starken Reaktionen und Gedanken haben den Akzent auf Dinge gesetzt, die in Bayern offensichtlich sind, kleine Korrektur, Nürnberg liegt in Franken, ja, ja, es gibt einen historischen Bezug zu Frankreich!

[Übersetzung/version: Klaus Kirchner]
Anmerkung: Der Videoclip hinter diesem Link zeigt das aktuelle Ergebnis unseres Kulturaustausches. In den für die Partnerorganisationen spezifischen Medien und Kunstformen. Er ist einer unserer Abschlusskommentare.
Annotation: le clip derrière ce lien montre un résultat de notre échange culturelle. Utilisant l’art et le media de nos organismes. Un commentaire final.

Les espaces – Räume

Les séjours en Allemagne ont toujours mis en évidence qu’il existe ici de nombreux espaces vastes, aérés, même dans le centre ville touristique et marchand vous ne subissez pas de bousculade, il existe partout un lieu pour faire une pause, et il y a toujours de la place dans le métro !!! Hier, un grand choc à propos d’espace ! Pour le besoin d’une vidéo que nous allons tourner sur les espaces qui font échos chez moi dans la ville, Klaus m’a proposé d’aller voir des usines inoccupées, je pensais voir une usine des années 50 de 1000m2, délabrée. Ce n’est pas une usine mais tout un quartier de bâtiments, de bureaux, de parkings vides. Des bâtiments des années 80/90, en bon état, personne ne sait quoi en faire, même les promoteurs ne sont pas intéressés car ils ont déjà ce qu’ils désirent. Choc ! étrange sentiment, le corps assommé par cette vision.

Die Besuche in Deutschland haben verdeutlicht, dass es hier viele, ausgedehnte, luftige Räume gibt, sogar beim Gehen im touristischen Stadtzentrum gilt es kein Gedränge auszuhalten, übrall ein Ort für eine Pause, und immer Platz in der U-Bahn !!! Gestern ein Schock zum Thema Platz ! Für ein Video, das wir über die Räume drehen, die bei mir auf ein Echo gestoßen sind, hat mir Klaus vorgeschlagen ein paar leerstehende Fabriken anzuschauen, ich erwartete eine baufällig Fabrik aus den 50er Jahren mit 1000 m2. Aber es war keine Fabrik sondern ein ganzer Stadtteil von Gebäuden, Büros, leeren Parkplätzen. Häusern aus den 80er und 90er Jahren, in gutem Zustand, niemand weiß was mit ihnen zu tun wäre, selbst Immobilienfirmen fehlt es an Interesse, weil sie schon alles haben was sie wünschen. Schock ! ein fremdes Gefühl, den Körper erschlagen von diesem Anblick.

Munich – München

Munich est à une centaine de kilomètres [165] de Nuremberg, mais son visage est différent, elle m’a semblé plus latine, à cause sans doute de l’accent italien que l’on entend à tout coin de rue ou de ces vitrines de superbes chocolats raffinés ( de véritables objets d’art), ou l’odeur du cappuccino !!!

München ist etwas über 100 Kilometer [165 km] von Nürnberg entfernt, hat aber ein anderes Gesicht, es scheint mir mehr südländisch, zweifellos wegen des Italienischen Akzents, den man an jeder Straßenecke hört, den Schaufenstern mit feinsten, erlesenen Schokoladen (richtigen Kunstwerken), dem Geruch von Cappuccino !!!

Grande chance, le festival de danse à lieu en ce moment et j’ai pu voir Louise Lecavalier dans deux créations (Children et a few minutes of lock), c’est toujours un bonheur de voir cette chorégraphe Canadienne. Munich est une ville avec trois grands théâtres [en total plus que 50 théâtres professionels, dont 4 théâtres de l’état et 4 muicipaux] et une multitude de centres culturels, de très beaux centres culturels, tous dans des espaces aérés  et bien aménagés. J’ai passé un bon moment dans celui de Gasteig où se trouvent la philharmonique de Munich, le conservatoire de musique, une bibliothèque et tant d’autres salles dédiées à la culture. J’ai vu une très belle exposition photos d’un photographe Turc [Attila Durak], je ne fais pas de commentaire mais laisse le lien de son site, allez le voir !

Gute Gelegenheit, das Tanzfestival [Dance 2010] findet gerade statt und ich konnte Louise Lecavalier in zwei Stücken sehen (Children und A Few Minutes of Lock), die kanadische Choreografin ist immer ein Genuss. München ist eine Stadt mit drei großen Theatern [insgesamt über 50 Profitheater, davon 4 Statstheater und 4 städtische Theater] und einer Vielzahl an Kulturzentren, sehr schöner Kulturzentren, in luftigen Räumen und in gutem Zustand. Ich habe einen schönen Augenblick im Gasteig verbracht, wo sich auch die Münchner Philharmonie befindet, die Hochschule für Musik und Theater, eine Bibliothek und viele andere für Kultur bestimmte Räume. Ich war in einer sehr schönen Foto Ausstellung eines türkischen Fotografen [Attila Durak], möchte nichts kommentieren, aber schaut sie Euch an !

Wir hatten Sie – oder eineN VertreterIN Ihres Mediums eingeladen, am:
Mittwoch den 27.10.2010 um 10:00 Uhr zur Pressekonferenz.
Ende: 11:00 Uhr.
Ort: Nürnbanum, Blumenwerkstatt Hanne Bauer, Nürnberg, Allersberger Str. 185/L1a
‘So wie Hanne Bauer private Räume atmosphärisch verändert, so verändert Zéline Zonzon den öffentlichen Raum.’

Anwesend waren:

  • Zéline Zonzon – Choreografin aus Frankreich. [Trotz Streikwelle aus Frankreich erfolgreich nach Nürnberg angereist.]
  • Ein Simultandolmetscher.
  • Klaus Kirchner

Sie sehen: aktuelles Material der Produktion ‘Jardin Altesse, Jardin Paresse’ vom 19.09.10 und haben Gelegenheit zu Fragen und Antworten über den laufenden Kulturaustausch sowie seine Weiterentwicklung 2011/12

‘Im Angesicht der Stadt’ – ‘Regards sur la ville’
Stadtentwicklung ist ein europäisches Thema – ein Thema mit dem sich KünstlerINNEN beschäftigen. Und fragen:

  • Identifizieren sich Menschen mit Ihrem Wohnort/Stadtteil?
  • Sind öffentliche Plätze Orte für die gesamte Bevölkerung?
  • Welche Perspektiven haben unterschiedliche Generationen im öffentlichen Raum?

Diese Veranstaltung wird unterstützt von der Robert Bosch Stiftung im Rahmen des Förderprogramms DUO.
Die Pressekonferenz wird gesponsort von der Blumenwerkstatt Bauer.
Stadtentwicklung bei leeren Stadtkassen, daher eine breite Allianz privater Fördergeber.

Eine Stadt in Bewegung

– Generationen vor Ort –

« Alltagsraum oder Sehenswürdigkeit für Touristen – in jeder Stadt gibt es Wege und Kreuzungen an denen sämtliche Generationen anwesend sind. Wer sich die Zeit nimmt Menschen zu beobachten, die sich im öffentlichen Raum finden oder befinden, ist überrascht vom Ballett, das durch die Kreuzungen, die Gänge und durch den Stillstand der Passanten aufgeführt wird.“

Die französische Choreografin Zéline Zonzon schafft seit Jahrzehnten Inszenierungen im öffentlichen Raum. Dabei arbeitet sie mit Menschen verschiedener Altersgruppen, Sprachen und Kulturen zusammen.
Susanna Regelsberger-Sacco (Kommunale Jugendarbeit) und Barbara Steinhauser (Seniorenarbeit) laden ein, am

Freitag, den 22.10.2010 von 10:00 – 12:45 Uhr
im Goldener Saal im Rathaus, Königsplatz 1, in Schwabach

eines ihrer Projekte näher kennen zu lernen.
Gemeinsam mit Ihnen wollen wir darüber ins Gespräch kommen, ob sich auch in Schwabach ein Projekt, das Lebensraum für alle Generationen, Bewegung und internationalen Austausch einbezieht, mit Menschen verschiedener Gruppen, Einrichtungen und Vereine realisieren ließe.
Zéline Zonzon wird begleitet von Klaus Kirchner, der mit arthefact e.V. in Deutschland und in Kooperation mit Organisationen weltweit Projekte initiiert und umsetzt. Beide werden Ihnen Ihre gemeinsame Arbeit vorstellen.

Multiplikatoren (von rechts nach links): Bianca Frank, Susanna Regelsberger-Sacco, Zeline Zonzon, Barbara Steinhauser, Klaus Kirchner

Aus der Begegnung mit den Schwabacherinnen erntwickelt sich – über eine Videopräsentation und konkrete Fragen zum Projekttransfer – eine MultiplikatorINNen-Gruppe. Wir stehen gerne für Fragen und die Weiterverbreitung der Ideen zur Verfügung.

 

Rückmeldungen und Fragen gerne als Kommentar auf diesem Blog.


Einladung zum Download

Une ville bouge

– Generations sur place –

« Lieu de vie quotidienne ou curiosité pour les touristes ; il existe dans chaque ville des lieux de passages, de rencontres, où toutes les générations sont présentes. Pour qui prend le temps de regarder les personnes qui se trouvent ou se retrouvent dans un lieu public, on est frappé par le ballet crée par les croisements, les courses ou l’immobilité des promeneurs, »

Zéline Zonzon, chorégraphe française, crée des spectacles dans les espaces publiques depuis des décennies. Elle travaille avec un public de générations, cultures et langues differentes.
Susanna Regelsberger-Sacco (bureau pour la jeunesse) und Barbara Steinhauser (bureau pour le troisieme age) vous invitent
Vendredi, 22.10.2010, 10:00 – 12:45 heures
au Goldener Saal dans l’Hotel de Ville, Königsplatz 1, Schwabach

pour qu’elle puisse vous présenter un de ses projets actuels et ses expériences sur les projets de ville.
Ensemble, nous allons parler des possibilités de créer un tel projet dans la ville de Schwabach, dans laquelle existent des espaces pour toutes les générations,les mélanges de mouvements et  de cultures, et le réaliser avec des groupes, organisations et associations differentes.
Zéline Zonzon sera accompagné de Klaus Kirchner, partenaire du projet via arthefact e.V. en Allemagne; Arthefact e.,V est un organisme qui  initie et réalise des projets internationaux. Tous les deux vous vont presenter leur projet commun.
Après une presentation video, nous réfléchirons sur le chemin à prendre pour étendre à d’autres groupe ce projet, sur la  notion de passation de projet et la mise en commun d’énergie.


Bei ihrem Besuch in Nürnberg arbeitete Zéline Zonzon u.a. mit SchülerINNEn in Workshops.

Anmeldung und Buchung war über diesen Blog (Kommentarfeld – Répondre s.u.) möglich.

In den Gärten

Foto: Vincent Lacanal

Ces textes en français.
Am 19. September 2010 tanzte eine Gruppe von mehr als 80 Personen in den öffentlichen Gärten JARDINS DE LA FONTAINE von Nîmes. JARDIN ALTESSE, JARDIN PARESSE [Garten der Hoheit, Garten der Faulheit] hiess die Veranstaltung.

Choreografie: Zéline Zonzon
SolistINNen: Jeanne-Nora Bennouar,
Musik (live); DURACUIVRE, Laurent Rabotin, Sylvie Bonnet, Estelle Andrieu

10 Minuten Videomitschnitt (aus vielen Zuschauerkameras geschnitten).

Im folgenden die Reaktionen der Presse vor Ort:

Kritik von J.-P.S in der Zeitung ‘Midi Libre’ vom 20. September über die Veranstaltung vom 19.09.2010:

Foto: Fabrice ANDRES – Midi Libre

Getanzter Spaziergang

… Von der Stadtverwaltung zu den TAGEN DES FRANZÖSISCHEN PATRIMONIUMS eingeladen, bot die Künstlerin den Nimensern die Entdeckung der berühmten Gärten in verschiedenen Stufen. Durch ein Leitsystem aus Sequenzen zeitgenössischen Tanzes, getanzt von den beiden Tänzerinnen Jeanne-Nora Bennouar und Estelle Andrieu sowie 80 Tanzamateuren aller Altersstufen, durch musikalische Interpunktion von der Blaskapelle in Taschenformat DURACUIVRE, vom Gitarristen Laurent Rabotin, der Sängerin Sylvie Bonnet und der Akkordeonistin Estelle Andrieu, entdeckte das Publikum auf eine orignelle und außergewöhnliche Weise das mineralische und pflanzliche Kulturerbe des Ortes. Mit JARDIN ALTESSE, JARDIN PARESSE hat Zéline Zonzon die Menschenmenge irgendwie an die Hand genommen, zum Spaziergang . Eine subtile und elegante Weise die Schönheit des Nimenser Kulturerbes sichtbar werden zu lassen. …

Ankündigung der Zeitung ‘Midi Libre’ vom 13. September für die Veranstaltung vom 19.09.2010:

Ein getanzter Rundgang lässt die Gärten neu (er)finden

Foto: DB – Midi Libre

Nîmes: Für die TAGE DES FRANZÖSISCHEN PATRIMONIUMS [Kulturerbes] gestaltet die Choreografin Zéline Zonzon in den Gärten JARDINS DE LA FONTAINE eine Aufführung mit 80 Personen.

Jedes Jahr zur gleichen Zeit das gleiche Dilemma. Jedes dritte Wochenende im September prallen im Nimenser Kalender zwei Großveranstaltungen aufeinander: Die FERIA DES VANDANGES und die TAGE DES FRANZÖSISCHEN PATRIMONIUMS. Nicht einfach für die OrganisatorINNen, noch schwerer für die Zuschauer, aber das spielt keine Rolle. Zéline Zonzon, die mal die eine, mal die andere Veranstaltung gestaltet, bietet die Krönung der Herausforderungen: Sie besetzt die Gärten JARDINS DE LA FONTAINE Sonntag Nachmittags um 16 Uhr, begleitet von 80 InterpretINNen, die mehrheitlich « noch nie getanzt » haben, mit einer Aufführung Tanz-Theater. Bei dem getanzten Rundgang, den sie JARDIN ALTESSE, JARDIN PARESSE [Garten der Hoheit, Garten der Faulheit] nennt, verschreibt sich die Choriografin ganz den TAGEN DES FRANZÖSISCHEN PATRIMONIUMS, indem sie den Einwohnern vorschlägt den Ort an diesem Tag in neuer Form « wieder zu entdecken ». « Mich reizt es, einen anderen Blickwinkel anzubieten. Der Garten ist sehr witzig, » sagt sie « es gibt Familien, Passanten, Menschen aller Altersgruppen, Erwachsene die hinter ihren Kleinen herrennen … Die Gärten sind Teil des Nimenser Alltags. Ich habe mir vorgenommen ihnen einen poetischen, unverfälschten Blick in den Raum zu erlauben. » Gestern Nachmittag sind die TeilnehmerINNen gekommen um vor Ort zu proben, also in Originalgröße. Sie, Zéline Zonzon, am Lautsprecher, gibt die Richtung vor, die Musiker der Blaskapelle DURACUIVRE das Tempo.
Zwei Mamas: « Erinnerst DU Dich an die Bewegungen? Fangen wir mit den Augen an oder mit den Ohren? » Ein junger Tänzer beruhigt sie. Und das Ballet führt über die Hauptallee zu den Wasserbecken, dann über die majestätischen Treppen bis zum Rondell. Mit der Einladung an die Amateure, die ProfitänzerIN (Jeanne-Nora Bennouar, Fabien Delcausse) zu begleiten, spielt Zéline Zonzon wirklich mit allen Kontrasten die der Ort bietet: Perspektiven, Gerüche, Stoffe … Obwohl seit Monaten darüber nachgedacht wurde, hat sich das Projekt nicht vor dem 6. September konkretisiert. Seitdem sind die TeilnehmerINNEN da, die sich auf einen Aufruf gemeldet haben. Bleibt nur zu hoffen, dass auch Zuschauer da sein werden. Eintritt frei.
Text: A.B.
Übersetzung: Klaus Kirchner